J’imagine Gustave Roud flânant avec son carnet dans la campagne romande, en prenant des notes sur la nature qui l’entoure.
Après avoir délié le cordon de suédine qui permet à cette reliure souple en cuir de s’ouvrir en portefeuille, vous trouverez en page de garde un papier incrusté de fleurs, car c’est bien de cela qu’il s’agit dans ce recueil, de fleurs et de saisons.